Alice Anderson
Ecosytem Processes, Calder’s Door
2019, composée de : Data Architecture, The Ritual of Shapes, Architecture dansée
Première présentation publique de l’œuvre
L’œuvre est emblématique de la pratique d’Alice Anderson pour qui « Danser c’est retrouver la Nature qui est en soi ». Elle s’est imprégnée de l’atelier Calder et en particulier de sa porte, par une danse singulière qui a généré une peinture qu’elle qualifie de « Geometric Dance », composée des empreintes de 24 éléments qui reproduisent ceux qui constituent la porte. Elle mémorise ensuite ces objets en les recouvrant minutieusement de fil de cuivre, le plus ancien métal utilisé par l’homme, qui est conducteur, notamment d’Internet. Son travail, nourrit autant par des rituels ancestraux que par les nouvelles technologies, tisse des liens entre le vivant et la matière, entre l’humain et le non humain.
Données techniques
Installation composée de 3 entités réalisées en lien avec la porte de l’atelier Calder à Saché (France) :
The Ritual of Shapes, ritualisation par la peinture des 24 éléments reconstituant la porte de l’atelier Calder, gouache, toile recyclée, 3 x 10 m
Data Architecture, reproduction en bois et mémorisation par le fil des 24 éléments, bois, fil métallique cuivré eco-friendly, dimensions variables selon l’installation
Architecture dansée, vidéo, 2′, sur petit écran