Samuel Pajand, L’horloge de l’amour, vidéo objet, vue d l’exposition Dance First Think Later, 2020, Le Commun, Genève. Photo Annik Wetter. Avec l’autorisation de l’artiste et d’Arta Sperto.
Samuel Pajand, L’horloge de l’amour, 2020, vidéo de 12h lue en boucle sur un écran de 30 cm de diamètre, incrusté dans une boîte en bois de 42 x 42 x 6 cm. 2 boutons rotatif affectés respectivement aux minutes

Samuel Pajand

L’horloge de l’amour

2020, vidéo de 12h lue en boucle sur un écran de 30 cm de diamètre incrusté dans une boîte en bois de 42 x 42 x 6 cm

« La nuit du 11 décembre 2018, alors que ma compagne était allongée sur moi et effectuait un tour dont l’axe était nos sexes réunis, l’image de L’horloge de l’amour m’est apparue. L’image a persisté, à tel point qu’il me sembla nécessaire de lui donner réalité. Le 20 juin 2019, nous avons réalisé, à huis clos sur un matelas de 2,32m de diamètre, une performance filmée de 12h servant de base à L’horloge de l’amour. »